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Découragée...

Les nuits qui ont suivi l'arrêt du magnésium ont été particulièrement mauvaises si bien qu'au bout de trois jours j'ai repris mon comprimé de magnésium chaque matin. Est-ce que je suis accro au magnésium? la supplémentation que je prends au long court serait-elle finalement néfaste? Je me sens comme devant une plante verte qui ne va pas bien et pour laquelle on s'interroge: est-ce que je lui donne trop d'eau ou pas assez! L'eau est bénéfique pour la plante, c'est incontestable. Mais il n'en faut ni trop ni trop peu et parfois c'est vraiment le casse tête pour l'apprenti jardinier. J'espère qu'avec le magnésium, je ne suis pas comme la plante à qui on donne trop d'eau!  A ce stade je suis un peu découragée. Au niveau alimentaire, je n'ai pas la motivation d'entamer un régime strict: sans café, sans alcool, en supprimant le soir les aliments qui libèrent l'histamine... la liste est trop longue et pour le coup

Carence en magnésium?

L'alimentation moderne ne nous fournirait pas le magnésium dont notre corps à besoin, à fortiori pour les sportifs qui excrètent davantage de magnésium pendant l'effort. Je prends du magnésium depuis environ 2 ans suite à des battements de paupières caractéristiques d'une carence en magnésium. J'étais également sujette aux crampes nocturnes. Depuis que je prends quotidiennement du magnésium, ces symptômes ont disparu. Une carence en magnésium peut également être à l'origine de troubles du sommeil.  Je m'intéresse donc de plus près au sujet et parcours différents articles sur internet. L'article de la nutrition.fr est assez complet:  Quel magnésium choisir? Le magnésium peut être pris en comprimé sous différentes formes mais toutes ne se valent  pas.  Le blog belge avogel.be dans un article consacré au magnésium et au sommeil déconseille l'oxyde de magnésium... c'est celui que je prends 😞 https://www.avogel.be/blog/sain-et-nat

Encore une bonne nuit de sommeil

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Après ma super nuit de 9h, j'ai enchaîné avec une petite nuit (moins de 6h). J'ai en effet terminé mon séjour chez mes parents par un repas de famille assez copieux et arrosé de rosé. Le réveil a été très matinal un peu après 4h et je ne me suis pas rendormie avant de me lever à 5h45 pour aller prendre le TGV du retour. J'ai un peu dormi dans le train et me voilà de retour à la maison et pour fêter ça une bonne nuit de sommeil de plus de 8h. - Vacances - Conditions extérieures (chaleur, bruit): je me suis réveillée lorsque mon mari est venu se coucher mais je me suis rendormie rapidement - Stress, contrariétés: aucun - Sport: pas de sport dans la journée - Fatigue: nuit précédente un peu courte, sieste dans la matinée dans le train - Repas du soir: apéro (rhum arrangé et artichauds grillés), salade grecque (tomates, concombre, poivrons, oignons, olives noires, vinaigre de vin blanc, huile d'olive), crème aux œufs

Une nuit parfaite

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Quand les mauvaises nuits se suivent jour après jour, semaine après semaine, il arrive un moment où on se dit qu'on ne peut plus faire une grosse nuit de sommeil, d'une traite. On est devenu un petit dormeur, on n'a plus besoin de beaucoup de sommeil... Il y a un an et demi, j'en étais arrivée à ces conclusions. Lors d'un séjour au ski, à ma grande surprise, j'ai enchaîné les longues nuits de sommeil de 8h. Et ce que je croyais impossible et de nouveau apparu possible. Depuis je n'ai pas réitéré cet exploit. Je suis retournée aux sports d'hiver mais l'air de la montagne n'a pas suffit cette année. Puis récemment, j'ai passé 12 jours de vacances aux îles Canaries. A priori tout était réuni pour un sommeil paisible: pas de soucis ni personnels, ni professionnels, des journées actives, une température idéale la nuit, un calme absolu mais des nuits hachées, des réveils très matinaux... Reste des repas du soir assez copieux et un peu alcoolis

Dosage des IgE

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J'ai réalisé les analyses sanguines prescrites par l'allergologue. Le dosage globale des IgE est supérieur à la normale mais pas d'affolement des compteurs. Idem au niveau du détail. On retrouve bien la sensibilité aux acariens mais aussi aux pollens de graminées. La concentration d'IgE est modérée (Classe 3). A première vue (de néophyte!), ces résultats n'apportent pas grand chose de nouveau... Je suis bien sensibilisée aux acariens. Vu qu'il y a aussi une sensibilisation au pollen, d'après ce qu'avait dit l'allergologue cela réduit les chances de réussite de la désensibilisation... Je vais prendre rendez-vous chez l'allergologue et une semaine avant j'arrêterai le traitement antihistaminique pour qu'il puisse faire les tests cutanés.

Visite chez l'allergologue

Lors de ma visite chez l'allergologue, après avoir évoqué mon passé d'allergique et mon traitement actuel, j'évoque l'histamine que je suspecte d'être la cause de mes problèmes de sommeil: trop plein d'histamine à cause des allergies, de l'alimentation et du sport. Il m'écoute attentivement et me pose différentes questions. Il me prescrit une analyse de sang mais ne peut pas me faire de test d'allergies car pour cela il faudrait arrêter les antihistaminiques pendant une semaine. Il me suggère donc de revenir avec les résultats d'analyse et si je peux arrêter les antihistaminiques pendant une semaine, il me fera des tests. Il pense que ça vaut le coup d'essayer une nouvelle désensibilisation par voie sublinguale. Ça dur 5 ans. Mais le résultat n'est pas garanti! Çà marche bien sur les sujets jeunes (déjà ça commence mal), n'ayant pas d'asthme (j'en ai eu très peu il y a très longtemps) et ayant une seule allergie car la d

50 ans d'allergies!

Me voilà chez l'allergologue. Je lui raconte ma longue histoire avec les allergies. En fait c'est depuis toujours. Bébé, j'étais allergique au lait. Je n'ai pas trop de détail mais ma mère raconte parfois qu'elle me donnait un produit à base de carottes à la place du lait et que du coup j'étais un beau bébé tout bronzé! Par la suite tout est rentré dans l'ordre, pas de problème pendant l'enfance. Les soucis sont apparus vers 16 ans. J'éternuais le matin et j'étais souvent enrhumée. J'ai consulté un allergologue qui a diagnostiqué un problème d'allergie aux acariens et à la poussière. J'étais trop occupée par mes études pour suivre une désensibilisation qui était très contraignante à l'époque avec des piqûres. Au fil des ans, les choses ont empiré, en plus des rhumes à répétition, j'ai eu de l'eczéma puis de l'asthme. J'ai donc à nouveau consulté un allergologue vers l'âge de 20 ans et j'ai comme