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Affichage des articles du juillet, 2018

Visite chez l'allergologue

Lors de ma visite chez l'allergologue, après avoir évoqué mon passé d'allergique et mon traitement actuel, j'évoque l'histamine que je suspecte d'être la cause de mes problèmes de sommeil: trop plein d'histamine à cause des allergies, de l'alimentation et du sport. Il m'écoute attentivement et me pose différentes questions. Il me prescrit une analyse de sang mais ne peut pas me faire de test d'allergies car pour cela il faudrait arrêter les antihistaminiques pendant une semaine. Il me suggère donc de revenir avec les résultats d'analyse et si je peux arrêter les antihistaminiques pendant une semaine, il me fera des tests. Il pense que ça vaut le coup d'essayer une nouvelle désensibilisation par voie sublinguale. Ça dur 5 ans. Mais le résultat n'est pas garanti! Çà marche bien sur les sujets jeunes (déjà ça commence mal), n'ayant pas d'asthme (j'en ai eu très peu il y a très longtemps) et ayant une seule allergie car la d

50 ans d'allergies!

Me voilà chez l'allergologue. Je lui raconte ma longue histoire avec les allergies. En fait c'est depuis toujours. Bébé, j'étais allergique au lait. Je n'ai pas trop de détail mais ma mère raconte parfois qu'elle me donnait un produit à base de carottes à la place du lait et que du coup j'étais un beau bébé tout bronzé! Par la suite tout est rentré dans l'ordre, pas de problème pendant l'enfance. Les soucis sont apparus vers 16 ans. J'éternuais le matin et j'étais souvent enrhumée. J'ai consulté un allergologue qui a diagnostiqué un problème d'allergie aux acariens et à la poussière. J'étais trop occupée par mes études pour suivre une désensibilisation qui était très contraignante à l'époque avec des piqûres. Au fil des ans, les choses ont empiré, en plus des rhumes à répétition, j'ai eu de l'eczéma puis de l'asthme. J'ai donc à nouveau consulté un allergologue vers l'âge de 20 ans et j'ai comme

Rechute après le japonais à volonté

Ce soir nous fêtons l'anniversaire de mon fils et il a choisi le restaurant: japonais à volonté. Je reste relativement raisonnable mais le repas est très copieux, avec de nombreux aliments sur la liste noire: saumon, crevettes, sauce soja... Et me voilà de nouveau réveillée à 2 heures du matin, j'enchaîne les podcasts une bonne partie de la nuit. J'ai le nez un peu bouché. Je l'avais déjà constaté les nuits précédentes, depuis que j'ai augmenté la dose d'antihistaminique. Je prends un corticoïde par voie nasale pour mes problèmes d'allergie car j'avais tout le temps le nez bouché... Et si le nez bouché était dû non pas à l'allergie mais à l'antihistaminique? Je décide de prendre rendez-vous avec un allergologue. Le dernier que j'ai vu c'était il y a plus de 15 ans. J'étais enrhumée en permanence. Les tests cutanés ont révélés une allergie aux acariens et à la poussière. Pour faire les tests, on vous pique le bras avec toutes s

Une deuxième bonne nuit de sommeil

En repoussant la prise de mon antihistaminique, en augmentant la dose et en supprimant certains aliments au dîner, j'ai passé une nuit complète de sommeil, près de 8h, ce qui m'arrive rarement. Après cette première victoire facile, je m'emballe. Des millions d'allergiques et des millions d'insomniaques, ça fait du monde qui pourrait retrouver le sommeil en suivant quelques mesures diététiques et en prenant des antihistaminiques. Ces médicaments sont peu chers et à priori sans risque d'accoutumance et avec peu d'effets secondaires. Je poursuis mes lectures sur internet et je vais de surprises en surprises. Je découvre que le sport inhiberait l'action de la DAO qui régule l'histamine. Je suis très sportive, je pratique le tennis une ou 2 fois par semaine et je fais une vingtaine de matchs par an en compétition. A côté de ça, je pratique d'autres sports de manière occasionnelle: roller, step, aquagym, natation, ski, randonnée, accrobranche,... V

Une première victoire!

"Ma découverte" m'a tenue éveillée une partie de la nuit. Les idées fusent et je fais un premier plan d'action (déformation professionnelle...) pour la nuit prochaine. - C'est un trop plein d'histamine qui m'empêche de dormir - Actuellement, je prends mon antihistaminique entre 18h30 et 20h30. - Du coup il commence à faire effet assez vite et je tombe de sommeil très rapidement. Je n'ai jamais de problème pour m'endormir, au contraire... par exemple si je m'allonge à la télé, généralement je m'endors. - Je vais essayer de prendre l'antihistaminique juste avant de me coucher en espérant qu'il fasse effet plus longtemps pendant la nuit. - De plus je vais augmenter la dose: je prends un comprimé 120 mg mais je sais qu'il existe également une posologie 180 mg donc je vais prendre un comprimé et demi. Avec une dose plus forte, je vais peut-être mieux dormir - Par ailleurs, terminé le fromage, le chocolat et les figues le soir

Et si c'était l'histamine qui m'empêche de dormir?

Il est environ 2 heures du matin. Comme souvent à cette heure là je ne dors pas. Je me suis endormie comme une souche vers 22h et me voilà réveillée. Mon smartphone me tient compagnie. Généralement, j'écoute des podcasts et finit par me rendormir au bout de 1h ou 2h ou plus... Tout à l’heure, j’ai un rendez-vous chez la gynécologue. Je n’ai pas eu mes règles depuis un an et je serai bientôt officiellement ménopausée ! J’ai 52 ans, je suis en forme et je n’ai pas ressenti de symptômes particuliers pendant la pré-ménopause, quelques sueurs nocturnes très épisodiques mais pas les fameuses bouffées de chaleur. Je veux profiter du rendez-vous pour évoquer mes problèmes de sommeil : ce n’est pas nouveau que je dors mal mais c’est de pire en pire, alors peut-être que la ménopause n’arrange pas les choses ? Allons voir ce qui se dit sur ce sujet sur internet. Pas la peine de chercher bien loin, l’insomnie est bel et bien un trouble fréquent de la ménopause et notamment à cause d